La main se hume à la manière d'un chien distant de moins d'un mètre. A moins que l'humain soit un chien sans niche, ni maître.....
Sans laisse, ni muselière, l'un ou l'autre retrouve ce côté animal. A moins que s'anime le mal hors de ces limites de la constriction d'un lierre qui emprisonne jusqu'à en perdre la raison de s'être enchevêtré en ses illusions...
Perte de la faculté de cette liberté d'autrui en la contrainte d'une étreinte à la dépendance de la soumission des autres de par sa volonté propre. A moins qu'il s'agisse d'une mission qui consiste à soumettre l'autre en le privant de son indépendance en un culte de l'assouvissement édulcoré.
Perfide être portant le masque d'un jour, jouant tantôt une scène face à la foule, faisant représentation toute autre en un tête à tête ou les miaulements se transforment en aboiements.
Identité perdue sans être dû au père, mais à ce choix d'être celui que l'on veut être avant même de penser au doit être. Conscience égarée en des turpitudes qui assène des coups par les mots, frappant le mental en le fragilisant, tout autant que de cogner le corps allant plonger dans la douleur.
Diversité d'un monde où les identités ne sont pas les corps ou les formes, mais la mentalité de chacun en la profondeur où le concept de noir et de blanc prend tout son sens. Indéfinissable état de ce qui n'est pas, mais qui prend ce sens de l'outrance à un instant dont on ne sait quoi, ni pourquoi.
C'est bien là que tout se déroule sans tapis rouge... Juste dans les coulisses où dans les loges le maquillage est de mise pour jouer ce personnage aux multiples visages allant évoluer sans réelle manière, bonne ou mauvaise. Passant de la bonté à la méchanceté au gré du déroulement d'un spectacle où le tacle se pratique sans tact.....
Il faut bien souvent se méfier de ce qui paraît, car il n'est pas facile de parer la chute du parapet de par un présage. Poussé par les mains de cet humain qui sait être l'acteur aux deux visages est un rebondissement qui n'amortira pas la chute finale....
© S.T.
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