Un de nos lecteurs vient dénoncer dans nos colonnes une arnaque dont il a été victime.
Variante des classiques arnaques à l’africaine, la méthode employée ici est réellement innovante, ce qui nous amène à attirer particulièrement votre attention dessus (partagez cet article).
Depuis de nombreuses années, les escrocs du web utilisent en toute impunité les services de Western Union pour effectuer les transferts d’argent de la part de leur victime. Bien souvent, ces dernières s’en aperçoivent trop tard, et il est impossible de faire machine arrière avec Western Union, au contraire d’un paiement par virement bancaire ou Paypal qui, en plus, laissent des traces sur l’identité de l’arnaqueur.
Avec Western Union, aucun souci : l’escroc vient simplement retirer l’argent volé au comptoir, quelle que soit l’histoire invraisemblable qu’il a inventée auparavant pour amener sa victime à payer. Et il peut recommencer malgré les plaintes, car bien souvent, l’employé de comptoir est complice. C’est monnaie courante au fin fond de la Côte d’Ivoire (80% de ces arnaques).
Alors forcément, on en parle tellement que nous sommes de plus en plus nombreux à associer Western Union à “arnaque”.
Avec ce témoignage, il semble que des escrocs un peu plus malins aient trouvé la parade : une carte rechargeable appelée Paysafecard.
La victime achète des bons Paysafecard en liquide chez son buraliste, en envoie ce montant directement sur la carte de l’escroc via une validation de code sur le site web de Paysafecard. L’argent est transféré, il est trop tard pour faire machine arrière. Bien entendu, l’escroc a communiqué de fausses informations sur son identité, et Paysafecard ne semble absolument pas coopérer avec les victimes.
Voilà donc notre conseil : Boycottez Paysafecard tant qu’une politique claire de transparence n’a pas été mise en place (le siège semble être situé à Londres).
Et si vous êtes victime de la même arnaque, n’hésitez pas à les harceler et les menacer pour vous faire rembourser.
En attendant, voici le témoignage de notre lecteur Hardy :
Variante des classiques arnaques à l’africaine, la méthode employée ici est réellement innovante, ce qui nous amène à attirer particulièrement votre attention dessus (partagez cet article).
Depuis de nombreuses années, les escrocs du web utilisent en toute impunité les services de Western Union pour effectuer les transferts d’argent de la part de leur victime. Bien souvent, ces dernières s’en aperçoivent trop tard, et il est impossible de faire machine arrière avec Western Union, au contraire d’un paiement par virement bancaire ou Paypal qui, en plus, laissent des traces sur l’identité de l’arnaqueur.
Avec Western Union, aucun souci : l’escroc vient simplement retirer l’argent volé au comptoir, quelle que soit l’histoire invraisemblable qu’il a inventée auparavant pour amener sa victime à payer. Et il peut recommencer malgré les plaintes, car bien souvent, l’employé de comptoir est complice. C’est monnaie courante au fin fond de la Côte d’Ivoire (80% de ces arnaques).
Alors forcément, on en parle tellement que nous sommes de plus en plus nombreux à associer Western Union à “arnaque”.
Avec ce témoignage, il semble que des escrocs un peu plus malins aient trouvé la parade : une carte rechargeable appelée Paysafecard.
La victime achète des bons Paysafecard en liquide chez son buraliste, en envoie ce montant directement sur la carte de l’escroc via une validation de code sur le site web de Paysafecard. L’argent est transféré, il est trop tard pour faire machine arrière. Bien entendu, l’escroc a communiqué de fausses informations sur son identité, et Paysafecard ne semble absolument pas coopérer avec les victimes.
Voilà donc notre conseil : Boycottez Paysafecard tant qu’une politique claire de transparence n’a pas été mise en place (le siège semble être situé à Londres).
Et si vous êtes victime de la même arnaque, n’hésitez pas à les harceler et les menacer pour vous faire rembourser.
En attendant, voici le témoignage de notre lecteur Hardy :
source : arnaques-sur-internet.com
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La Police Fédérale vous informe
à la requête du Parquet du Hainaut - division Charleroi. :
source : police.be
RépondreSupprimerEvitez paysafecard autant voir même pplus que la peste. Victime d'une arnaque sur le net, je porte plainte à la police avec toutes les preuves, la police reconnaît que c'est une fraude et me dit de me tourner vers Paysafcard pour espérer un remboursement, la seule réponse que j'ai de ces débiles c'est : "les tickets sont vides, nous ne pouvons pas vous proposer de remboursement.", je suis même pas sur qu'ils comprennent le français, ça fait 5 fois que je reçois la même réponse...
Je l'utilise pour mes achats en ligne, mon compte a été bloqué pour des raisons de sécurité je les aies harcelées pendant des mois et ils m'ont réouvert mon compte j'avait que 0 euros dessus alors je m'en fichait un peu mais pour des raisons persos je peut pas payer autrement.
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