Accéder au contenu principal

William Shakespeare a dit...





William Shakespeare, né probablement le 23 avril 1564 à Stratford-upon-Avon et mort le 23 avril 1616 dans la même ville, est considéré comme l'un des plus grands poètes, dramaturges et écrivains de la culture anglaise. Il est réputé pour sa maîtrise des formes poétiques et littéraires, ainsi que sa capacité à représenter les aspects de la nature humaine.

Figure éminente de la culture occidentale, Shakespeare continue d’influencer les artistes d’aujourd’hui. Il est traduit dans un grand nombre de langues et, selon l'Index Translationum, avec un total de 4 159 traductions, il vient au troisième rang des auteurs les plus traduits en langue étrangère après Agatha Christie et Jules Verne. Ses pièces sont régulièrement jouées partout dans le monde. Shakespeare est l’un des rares dramaturges à avoir pratiqué aussi bien la comédie que la tragédie.

Shakespeare écrivit trente-sept œuvres dramatiques, entre les années 1580 et 1613. Mais la chronologie exacte de ses pièces est encore discutée. Cependant, le volume de ses créations n'apparaît pas comme exceptionnel en regard de critères de l’époque.

On mesure l’influence de Shakespeare sur la culture anglo-saxonne en observant les nombreuses références qui lui sont faites, que ce soit à travers des citations, des titres d’œuvres ou les innombrables adaptations de ses œuvres. L'anglais est d'ailleurs souvent surnommé la langue de Shakespeare tant cet auteur a marqué la langue de son pays en inventant de nombreux termes et expressions. Certaines citations d'ailleurs sont passées telles quelles dans le langage courant.



Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le vol de l'enfance...

  Le vol de l'enfance Dans le jardin où les rires s'épanouissaient, Les fleurs dansaient sous le souffle des vents, Parmi les rêves innocents, j'évoluais, Un monde de lumière, un monde d'enfants. Mais la vie, en silence, a tissé des ombres, Dans le ciel éclatant, une tempête se lève, Les jouets oubliés, les poupées qui sombres, J'ai pris la route, où l'enfance s'achève. Les éclats de voix, les éclats de bonheur, Se sont tus lentement, comme un chant éteint, Les jours se succédaient, pleins de douleur, Le poids de l'absence m'a fait grandir trop bien. Sous le ciel bleu, j'ai appris à cacher, Les larmes qui coulaient, les peines enfouies, Endossant le rôle que le destin a tracé, Enfant devenu sage, dans un monde meurtri. Les rires d’hier, sur les lèvres, se fanent, Les jeux de société rangés, à jamais, J'ai troqué mes rêves contre des lendemains, Où l'espoir vacille, où le temps m'achète. Les jours de pluie, je les prends comme un farde...

À petit feu...

   À petit feu Dans l'ombre douce où le silence danse, S'éveille une douleur, une étrange essence, Chaque jour se lève, terni par la brume, Un cœur qui s'effrite, un esprit qui s'allume. Les mots murmurés, comme des feux de paille, Se consument lentement, dans l'ombre du détail, L'amour s'évanouit, tel un souffle léger, Et le regard se perd, dans un abîme figé. Les promesses d'hier, comme des feuilles mortes, S'envolent dans le vent, à la dérive, elles sortent, Les rires s'estompent, comme un souvenir flou, Dans ce vide immense, où l'on se sent à bout. Une larme à la fois, la tristesse s'invite, Elle ronge les entrailles, elle devient une suite, Chaque geste banal, chaque sourire en vain, Nous rappelle ces jours où l'on se tenait bien. Les souvenirs brûlants, comme des braises cachées, Réchauffent un cœur qui ne sait plus aimer, Les regards furtifs, les silences pesants, Teintent notre quotidien de couleurs du néant. On se lève le mat...