Dans l'écho du silence, au cœur de l'immensité, Se trouve un doux refuge, un havre de sérénité, C'est là, dans la quiétude, que se trouve la clé, Du lâcher prise, de la méditation, de la paix retrouvée. L'esprit vagabonde, libéré de ses chaînes, Dans un océan de calme, où règnent la sagesse et la peine, Dans la douceur du moment présent, il se déchaîne, Embrassant le zen, retrouvant son essence humaine. Fermer les yeux, laisser les pensées s'envoler, Comme des feuilles emportées par le vent, laisser le temps filer, Se fondre dans l'infini, dans l'océan de l'immortalité, C'est là, dans cet état d'esprit, que se trouve la liberté. Respirer profondément, sentir le souffle de la vie, Qui parcourt chaque parcelle de notre être, infinie, Dans cet instant suspendu, où le temps s'oublie, Se trouve la pureté, la vérité, la magie. Écouter le chant des oiseaux, le murmure du ruisseau, Se laisser bercer par la douce mélodie de l'eau, Danser avec le
Dans la danse du vent, capricieux et fougueux, Un souffle éphémère, une force qui s'envole, Il caresse les cimes, embrasse les rameaux, Porteur de mystère, il nous chante sa parole. Sur sa route insouciante, il effleure tout sur son passage, Emportant les secrets, les murmures de la terre, Il berce les fleurs, ébouriffe les nuages, Dans son élan sauvage, il se plaît à nous taire. Un simple frisson, une brise légère, Il peut éteindre une flamme, souffler sur un espoir, Mais dans son élan féroce, il peut aussi tout réduire en poussière, Attisant les flammes, devenant un redoutable miroir. Il effleure la bougie, l'éteint d'un simple baiser, Mais dans les profondeurs des bois, il danse avec ardeur, Allumant un brasier, une colère enflammée, Dévorant la forêt, avec une furieuse lueur. Sous son emprise, les flammes dansent avec ivresse, Étincelles volantes, embrasant le firmament, Le vent, témoin silencieux de cette triste détresse, Joue avec le feu, sans craindre le jugement.